14.4.09
Y'a pas de fumée sans acide cyanhydrique moi je dis
dans un mauvais recueil de claude péloquin comme un tatou sauvé des os une étampe japonaise à moi tiers effacée et en travers comme la rêvélation d'un plus-beau poème que le poème n'importe-coi : CE LIVRE EST LA PROPRIÉTÉ
DU CENTRE DE DÉTENTION DE MONTRÉAL c'est-ti assez compliqué d'écrire sans faire de palissades et des lapalissades je suis aux mots / sexy ailes / c'est salissant écrire il finit souventes fois par y avoir des étampes viscères qui viennent nous barrer moult de travers comme si c'était pas assez! je me de-mande si elle est encore envie je crois que depuis nonante ans je marche-temps et marchande de travers sur les pages pâlissantes poli pour ne pas faire DE BRUIT c'est-y assez mauve en esti la litière à ture elle m'avait dit des choses qui rampent dans ma tête parfois et aussi des choses que j'ai oub-liées cordées charlotte pour finir assassiné par pâtir il faut partir elle doit être morte je crois bien mais qui donc m'eut averti il n'y avait plus rien que je pouvais faire pour ralentir/arrêter le temps ne pas vieillir ne pas vomir en embrassant un vieil homme qui ressemble à whitman grosse barbe blanche ma langue dans le blanc qui pique et son doigt dans mon cul il faut partir il faut hélas héler l'hallali on doit mourir dans le cul et ma langue sur la peau qui crisse et qui grince et qui pue c'est la mort mais c'est surtout l'idée donc rien
j'aime
!
carapaté sur les silos noirs comme jais (do) ré mie ce n'était qu'un rêve quand j'ai tué le vieillard n'est-ce pas mais je me demande si elle est encore en vie et je m'étale / létal / sur les supplices complices qui me dévissent le crâne en fouillant les les les les oh jeez ça fait bizarre d'être assis là-bas à me regarder vomirador sus aux cons jeu les frappatoires estafilades des pisse-tilences grangraines ô ma ragamuche monde olivine trafiquée d'en t
il me regarde le regarder je sais qui il est il est
oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui oui
une coudée j'aimais nabot lira le hasard (genre) oui je sais c'est hasardeux c'est-ti assez compliqué d'écrire sans pontifier je m'allarmai trop tard ciao ciao ti-cul à ce soir à sursoir bastaquouère bastabarnac bastarté bastonnade béat b-à stabiliser l'homorragie spéculaire tordue sur le banc le vieillard s'arrache les dents en faisant gicler le sang sur sa barbe whitmannienne ses yeux sont doux mais son sexe en vis les bastingages astringents soulèvent souvent des doutes à bout de carcasse en râpant les souvenirs-écrans c'est sûr c'est moi c'est gênant une érection jacassante dans le cul du monde pour oublier les livres en trop cheese je lui ai tiré le portrait c'est ça à coup de douze dans les dents comme éric il était psychotique éric et j'érigeai jacassant des phallus feuillus pour enculbuter le monde en riant foooooooooooooooooooooooort.
Tout ça pour dire que j'ai ri merveilleusement avec toi (c'est là la chance unique).
(Merci à Jay pour l'inspiration lynchienne et surtout, surtout à The Magic Pomme pour la vidéo de Herzog que je passe sans cesse dans ma tête ça me fait bien rigoler!)
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Je trouve ça vraiment weirdo comme vidéo, je trouve ça même un peu épeurant :)
RépondreSupprimerEn fait, le film dure une heure trente-six et pendant une heure trente-six, on se demande s'il faut rire ou se cacher sous la couverture...
RépondreSupprimerA voir quand même, parce qu'il y a des tonnes de nains et une scène de lit vraiment cocasse ;)